PORTRAIT DE MEL GIBSON

Mel Gibson

1977 : "Summer City" de Christopher Frazer
1979 : "Mad Max" de Georges Miller
1985 : "Mad Max 2" de Georges Miller
"L'année de tous les dangers" de Peter Weir
1983 : "Le Bounty" de Roger Donaldson
1986 : "Mad Max 3 : Au delà du Dome du Tonnerre"
1987 : "L'arme fatale" de Richard Donner
1988 : "Tequila Sunrise"
1990 : "Hamlet"
"Bird on a Wire"
"Air America"
1995 : "Maverick"
"Braveheart"
1998 : "L'arme fatale"
1999 : "Payback"
2000 : "The Million Dollar Hotel"
"Ce que veulent les femmes"

 


Jeu concours


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Gentleman...

Le sourire vous plaît mesdames ?


Nom:Gibson
Prénom: Mel Columcille Gerard
Date de naissance: 3 Janvier 1956
Lieu: Peekskill dans l'Etat de New York

Cinquième des onze enfants de la famille, Mel déménage à l'âge de 12 ans avec ses parents en 1967 pour s'installer à Sydney, en Australie car son père veut éviter le service militaire (ou plutôt servir au Vietnam) à ses fils.

Mel met déjà en avant ses qualités d'acteurs au National Institute of Dramatic Art de Sydney, en jouant dans "Roméo et Juliette", aux côtés de Judy Davis.

En 1977, il fait ses premiers pas dans Summer City, de Christopher Frazer. Si certains acteurs patientent de très nombreuses années avant d'éclater, il n'en sera pas de même pour cet Australien d'adoption, qui connaît un succès mondial dès son deuxième film.

C'est l'épopée Mad Max (en 1979). Décidé à ne pas s'enfermer dans ce rôle, il tourne dans Tim, un drame dans lequel il incarne un handicapé mental. Une prestation qui lui vaut le Prix d' interprétation de l'Australian Film Institute, un prix qu'il remportera à nouveau pour son rôle dans Gallipolli, de Peter Weir. Suivront Mad Max 2 (en 1985), toujours de George Miller, et L'année de tous les dangers (en 1983), de Peter Weir.

Attiré par le théâtre, il y fait un retour pour jouer dans "Mort d'un commis voyageur", d'Arthur Miller, avant d'incarner Fletcher Christian dans Le Bounty (en 1983) de Roger Donaldson. Convoité par Hollywood, Mel Gibson s'exile et tourne dans La rivière, de Mark Rydell, avant de conclure en 1986 la trilogie Mad Max, avec Au-delà du Dome du Tonnerre.

Mais les trilogies lui collent visiblement à la peau, puisqu'à peine sortie Mad Max 3, il tourne L'arme fatale (en 1987), avec Richard Donner, l'un de ses réalisateurs attitrés. Les années qui suivent en font un des acteurs fétiche d'Hollywood, au répertoire varié. A tel point qu'il se permet d'exiger 20 millions de dollars pour ses films. Une rançon que ses producteurs ne regrettent pas, au vu des résultats des films dans lesquels il figure.

Ce qui ne l'empêche pas de garder la tête sur les épaules et de vivre en paix avec Robyn Moore, son épouse depuis 1980, dont il ont eu 7 enfants.

De retour en 1988, juste après l'Arme fatale, Gibson fait une apparition remarquée dans Tequila Sunrise, mais c'est surtout en 1990 qu'il étonne en jouant Hamlet, un registre dans lequel on ne le connaissait pas encore. En 1990, la gentille comédie Bird on a Wire, nous gratifie d'un plan … de ses fesses. On le verra la même année dans le très patriotique Air America.

En parallèle, Mel Gibson exerce le métier de producteur depuis 1988, et de réalisateur depuis 1993, date de la sortie de L'homme sans visage. En 1995, après Maverick, où il joue un génie du poker, il renouvelle le genre historique avec Braveheart, son plus grand succès, personnel comme commercial qu'il a produit, réalisé et interprété (aux côtés de Sophie Marceau), et qui a rapporté 202 millions ainsi que l'Oscar du meilleur film et du meilleur réalisateur.

Après Complots, pour lequel il a retrouvé Richard Donner une cinquième fois, et dans lequel il donnait la réplique à Julia Roberts, les spectateurs français ont pu le retrouver (en vidéo uniquement) dans Drôles de pères le remake des Compères. En fait une apparition hitchockienne comme celle qu'il avait faite dans Casper, en 1995, et dans le Mystère des fées, au générique duquel il n'est même pas crédité !

L'arme fatale 4 (en 1998), tourné, monté et sorti dans des temps records, lui permet de retrouver son ami Donner, avant de se consacrer à la réalisation, derrière la caméra, de Fahrenheit 451, d'après Ray Bradbury. François Truffaut s'y était déjà attelé en 1966.

Plus récemment, on a pu le voir dans La Rançon et le quatrième épisode de l'Arme Fatale. En 1999 il joue dans Payback. Il tourne ensuite Million dollar hotel et prète sa voix lors du doublage de Chicken Run. Aujourd'hui, on le retrouve dans la comédie Ce que veulent les femmes, une dans laquelle il joue aux cotés de Helen Hunt.

Karine